John est un chat anthropomorphe. Bien qu'il ne soit pas humain, il fait parti de la famille des hybrides. Son pouvoir, c'est réussir à être classe tout en étant un chat.

Hétérosexuel

John est quelqu'un de très calme et réfléchi. Quasiment tout le monde ressort ce mot en parlant de lui : sérieux. Néanmoins, il est capable de rire et de s'intéresser à autre chose qu'au travail contrairement à son lui de primaire. La solitude et la compagnie ne le dérange pas, il est d'ailleurs très bienveillant envers les personnes aimables. Étant assez imposant et musclé, peu de personnes n'ose le provoquer ou l'attaquer. Mais quand ça arrive, il ressort toujours vainqueur, même s'il n'est pas à l'abris des blessures. « Y'a des cons partout » dirait-il. Depuis toujours, John est passionné par le domaine de la photo. Dès petit, il prenait le vieil appareil photo de sa mère pour prendre en photo des tas de choses. La nature, les villes, les gens, etc. Il aime tellement ça qu'il a décidé d'en faire son métier. Mais il n'aime pas QUE prendre des photos, il aime aussi se faire prendre en photo. Avant son métier, John faisait du mannequina à ses heures perdues. Autre passion un peu plus récente que celle-ci, John adore le Blues depuis son arrivé au lycée où il a découvert ce style de musique. Depuis, il a acheté une guitare et s'entraîne chaque jour pour jouer du blues à la perfection. Sa voix est déjà parfaite pour le chant alors il a juste à se concentrer sur la guitare.

D'ailleurs, autre chose qui font faire penser aux gens que John est en réalité un vieillard caché, il a un amour pour les "vieilles" choses. Des années 50 aux années 70 ; il adore le style, que ce soit les musiques, les vêtements, l'architecture et l'histoire. Même si certains modes de pensés de ces époques étaient un peu limite, il trouve quand même ça passionnant. Un jour, son père l'a "frapper" trop fort, ce qui fait qu'il a une cicatrice près de son œil qui a suscité pas mal de questions de la part des gens. Vu qu'il n'a pas très envie de dire le pourquoi du comment, il raconte des histoires pas possibles, du plus plausible au plus fou et ridiculement inimaginable. Ce qui est ironique pour une personne prônant l'honnêteté.

Cependant, tout ceci n'est qu'une façade pour John. Depuis son arrivée dans la vie active et dans son boulot d'inspecteur dans la brigade criminelle de police, les affaires qui s'enchaînaient changèrent de plus en plus son fond. À force de voir ce que l'humanité a pu et fait encore de pire, il est devenu intérieurement très nihiliste et maussade, et cette personnalité est plus que visible lors de ses heures de travail. Son comportement se montre assez distant, faisant très difficilement confiance aux témoins et devient très autoritaire, sévère, sérieux, sec et rude avec ses sous-associés et ses collègues. Mais il est fort de constater qu'il est assez expérimenté, intelligent et vif lors de ses enquêtes. Il ne compte pas trop sur son supérieur Ricky pour mener à bien les affaires et les dossiers, compte tenu du personnage, alors il décide souvent de tout faire lui-même. Au fil des années, il est devenu beaucoup plus solitaire et il préfère rester à l'écart du public, valorisant sa vie privée et son indépendance, ainsi que ne pas avoir à s'inquiéter d'être reconnu par le public.

Johnny est né d'un père anglais très louche et d'une mère pure américaine plutôt aimante. Arrivé à ses 5 ans, son père se mit à devenir de plus en plus alcoolique, violent, et frappait régulièrement sa femme. Elle finit donc par divorcer et prit la garde de son enfant. Ils se retrouvaient donc deux à la maison, et bien que cela terrifiait un peu sa mère, elle était rassurée de voir que Johnny n'hésitait pas à l'aider pour les tâches quotidiennes et qu'il ne lui manquait jamais de respect. Au fur et à mesure des années, elle était de plus en plus fière de son fils et les deux avaient une relation très complice. Quand elle lui proposa de lui payer un appartement dans le centre-ville il fut d'abord réticent, ne voulant pas la laisser seule, mais celle-ci le rassura en lui disant qu'elle voyait quelqu'un. Bien qu'éloignée d'elle à ce moment de sa vie, Johnny était toujours en contact avec sa mère et n'aurait pas supporter qu'il lui arrive quelque chose de dramatique.

Première chose remarquable chez Johnny, c'est qu'en plus d'être grand, il a un physique très mature, et ça, depuis toujours. Déjà en primaire, il était le plus grand élève de toute sa classe et de l'établissement. Contrairement à ce que l'on pourrais penser étant donné que c'est un chat et que quand il était jeune, bien qu'il était sérieux il restait un tantinet mignon, les autres le craignaient ou étaient jaloux et donc ne lui adressait pas la parole. Néanmoins, Johnny ne le vivait pas mal et n'en avait pas grand chose à faire. Dans sa famille, on lui a appris dès très jeune à être sérieux et ne s'occuper que de ses études. Il n'avait pas vraiment de problème avec ça, ce qui fait qu'en primaire, il n'avait quasiment aucun ami et ne s'intéressait qu'à ses notes.

Un des plus gros changement de la vie de Johnny, c'est quand il arriva au collège. Il y avait tellement plus de diversité parmi les élèves. C'est aussi à cette époque qu'il eut sa première honte ; son prénom. Tout le monde l'appelait "Hallyday", et en allant se renseigner sur le pourquoi du comment, il décida qu'à partir de maintenant, il s'appelait seulement John. Même sa mère devait s'adapter à son choix, et même moi, le narrateur. Certaines personnes l'appelaient "le titan" et d'autres lui demandaient s'il n'avait pas beaucoup redoublé, mais jamais personne ne réussit à le faire complexer sur son apparence, personne. Les quelques rares personnes voulant se moquer de lui l'appelaient "le minou" ou toute sorte de surnoms du même style, mais vu que strictement aucune réaction de la part de John ne sortait à propos de ces surnoms, ils abandonnèrent vite. John n'était pas un élève détesté, mais soit laissé dans un coin d'un côté et très aimé de l'autre. Son attitude de je-m'en-foutiste envers ceux qui essayaient de le descendre ont vite décourager les gens à l'embêter et les élèves les plus "sages" le prenait comme une sorte de daron. Beaucoup d'entre eux également se servaient de lui pour qu'il les aide à faire leur devoirs. Après avoir appris ça quelques mois plus tard, il se sentait terriblement naïf et stupide. Il devint un peu plus sévère avec les gens mais il garda tout de même ses amis les plus proches.

C'est à partir du lycée que John commença à plus se développer. Il découvrit de nouvelles passions, goûta de l'alcool pour la première fois de sa vie, ainsi que la cigarette, comme par rituel obligatoire. Il avait pas mal de succès auprès des filles comme des garçons et eut pas mal de flirt mais qui se terminaient majoritairement par des phrases bateau du style « Tu es trop bien pour moi », le genre de phrase qui cachent en vérité « J'ai trouvé meilleur que toi ailleurs ». Il était invité en boîte avec des amis, participaient à certaines fêtes clichées bien américaines et bien d'autre. Son aura du "bon gars" et le fait que les gens ne disaient que du bien de lui et que le seul défaut qu'on avait à lui reprocher était « Il est très sérieux mais il arrive à rigoler donc ça va. » avais mis la rage à pas mal d'élèves qui se mit à le brutaliser assez violemment. À partir de ce moment, John décida de faire des exercices tous les jours (et surtout le matin) pour muscler son corps et être encore plus imposant. Mais… ça lui donnait surtout une apparence plus adulte. Ces mêmes élèves l'ont vite crains et ont arrêtés. Après avoir appris que son fils avait été battu par des élèves, sa mère décida de l'envoyer dans un autre établissement où il écoula des jours moins… "violent", disons.

« I can't stop the dogs of war. »

L'arrivée dans la vie active bouscula cependant complètement sa vie, encore plus que le collège. Il pouvait avant se montrer peut-être froid, mais ce n'était quasiment jamais intentionnel et avait un fond très optimiste. Mais inspecteur dans la brigade criminelle n'est pas un boulot facile, encore moins pour le moral. Les affaires s'empilant et le chaos se généralisant, John était devenu extrêmement sérieux et concentré, déterminé à faire régner l'ordre et la justice dans tout Heaven Lake. Son optimiste s'était transformé en un puissant sentiment de volonté à rendre le monde meilleur. Mais malheureusement pour lui, ça ne devait pas toujours se dérouler ainsi. Lors d'une enquête avec de hauts criminels de la ville dont Jack Fraden était impliqué et même maître des opérations, John eut la malchance que sa propre mère soit kidnappée et prise en otage par le groupe de malfrats, contre une rançon qui impliquait de leur donner le contrôle total de la ville. Bien que prêt à tout pour la sauver, le service ne pouvait cependant pas accepter la rançon et devaient vite trouver l'emplacement du groupe afin de tout arrêter ; Mais ils étaient bien cachés, ces bougres. Ce jour devint alors vite pour John le plus grand échec et le plus gros drame de sa vie, pour la simple et bonne raison qu'ils ne trouvèrent que trop tard la localisation, et qu'ils avaient eu bien le temps de tuer la mère de John d'une balle dans la tête en ayant filmé le tout, ce à quoi John assista complètement impuissant.

Depuis lors, John devint complètement nihiliste, sombre, distant et sec, évitant le plus possible de se faire des liens. Même si l'incident date d'il y a quelques années, il pense ne jamais pouvoir se pardonner d'avoir laissé sa propre mère mourir, et compte bien faire en sorte que ce "Jack" ne finisse pas derrière les barreaux, mais bien six pieds sous terre. On peut alors le voir très souvent dissoudre son stress sous une fumée opaque dû à son addiction aux cigares, ou encore noyer son chagrin à la taverne sous une dizaines de verres de whisky. Il prend d'ailleurs parfois souvent les enquêtes personnellement et est assez cruel dès qu'il arrive à coincer les coupables, ne les considérant même pas comme des êtres vivants mais comme les dernières des merdes. Son besoin de justice et son puissant sentiment de vengeance lui ayant monté à la tête, John serait aujourd'hui prêt à tous les pires actes pour punir les criminels et faire respecter l'ordre.

« There ain't no rest for the wicked. »

Il peut, comme la plupart des travailleurs du service policier, utiliser n'importe quel arme disponible ; Mais il garde quand même toujours sa propre arme personnelle : un pistolet-semi automatique Sig-Sauer SP 2022.

Origine: Anglaise par le père, américaine par la mère
Voix: Jean-Claude Michel

✬ Compte tenu d'événements météorologiques très violents et très alternant, les autorités de la ville pensent qu'ils sont probablement provoqués par les pouvoirs d'un habitant de la ville. Il y a de nombreuses patrouilles de police en ville, et en ce moment, John est de patrouille dans l'académie. La directrice soupçonne que le coupable peut potentiellement se trouver parmi ses élèves, et John a donc le devoir de noter la moindre chose suspecte. Il a en plus la surveillance de Ricky, celui-ci devant garder un œil sur le professeur John Fraden.

✬ John Fraden d'ailleurs, parlons-en. Notre ami à poils le déteste profondément, pour la simple et bonne raison qu'il ressemble énormément au tueur de sa mère, Jack Fraden. La population n'étant pas au courant que ces deux-là font parti de la même famille, John Fraden est donc assez avantagé, car notre John pourrait très bien en venir aux poings s'il apprenait la vérité.

✬ Quand les gens disent que John est un chat très très grand, ils pèsent leurs mots. Vraiment. 1m90.

Ricky Clarkson, Baron Jenkins Von Gikkingen → Supérieurs / A du mépris envers eux

Villain Hyun → Collègue

John Fraden → Le déteste

Stark Trenk → Amis / Partagent le but de tuer Jack coûte que coûte

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CRÉATEUR — Donnie.

FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.