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Elfège Brénom
Elfège BrénomNOM:Brénom PRéNOM:Elfège AGE:26 ans SEXE:Masculin ProfesseurPOUVOIR / ESPECE :Explosion & mage
Concernant les explosions, il s'agit d'un pouvoir interne. Il les réalise à distance. Au début du rp, ces capacités seront faibles (des explosions comparables aux pétards de fêtes foraines). Puis, au fur à mesure, il pourra réaliser des impacts plus conséquents. Bien sûr, cela ne dépassera jamais l'explosion d'une bombe nucléaire. Soyons réaliste.
Orientation sexuelle :Homosexuel
Caractère :Toujours ailleurs, depuis son plus jeune âge, Elfège a souvent eu dû mal à réaliser l'existence de son environnement. La seule occupation qui a su retenir toute son attention et concentration est la lecture d'innombrables livres, surtout à sujets scientifiques, et principalement de psychologie sociale. Il voue une passion incommensurable à sa bibliothèque. Du fait de son attirance pour ces sujets, son savoir a des bases somme toute solides.
Elfège ne sait qu'il comprend. Il pense être ignorant du monde, en être un corps étranger, ne pas en faire parti. Cependant, il ne rencontre aucune difficulté à comprendre autrui. Il peut en devances les attentes ou lire entre les lignes, si cela est présumable. Malheureusement, les longs discours peuvent lui faire perdre le fils de la conversation.
Il apprécie la justesse des termes, la mélodie des sonorités linguistiques et le sens critique et n'apprécie guère les demi-mots mal assumés, les quolibets et intrusions de la part des autres.
Elfège a toujours voulu vivre à l'écart des foules, mais n'a eu de cesse d'être ramené à celles-ci. Être seul l'importait beaucoup, et encore aujourd'hui il s'agit d'un joyaux que de pouvoir soliloquer en toute impunité ou s'exercer dans ce qu'il aime, comme dans l'art - picturale ou littéraire. Il est une bille en endurance. Cependant, son corps est doté d'une certaine souplesse et agilité.
Plutôt amusant, Elfège trouve des personnalités dans les chiffres, nombres et lettres.
Histoire :Journal de Elfège Brénom
"Je me présente Elfègenoux. Ainsi et depuis toujours, ils m'avaient surnommé de la sorte. Mais à l'aube de mes quinze ans, j'ai découverts que Elfège se prononçait bel et bien Elfège, non pas Elfègenoux, comme je l'eus toujours pensée.
En réalité, je trouvais cette appellation mignonne et affective, avais toujours cru à une fantaisie de prononciation, que Elfège puisse se prononcer Elfègenoux. Mais, il fallait se rendre à l'évidence. J'avais été aveugle et sourd de leurs moqueries. Leurs rires étaient pour moi le partage de mes moments de joie, où les gamineries dans la boue sont encore plaisantes, car le dit-enfant est bien trop jeune pour comprendre ce qu'il fait. Mais, mes interprétations étaient erronées.
Ils se fichaient de moi.
Comment le sait-je ?
Tout a commencé, comme je l'ai mentionné, la veille de mes quinze ans. Je trouve ce nombre affreux, d'une immondice sans nom, capable des pires cruautés. Pour contraster avec cette horreur, j'ai voulu me soigner visuellement. Et, pour la première fois, mon corps s'est dévoilé à moi, la vraisemblance de ce reflet dans le miroir m'a surpris d'un regard et, j'ai vu cette enveloppe charnelle qu'est la mienne, accompagné d'un étrange genou. Il avait cette bizarrerie que l'on sent, que l'on respire en la voyant, mais déguisée sous un masque indescriptible, elle reste innommable, indéchiffrable, indécodable. Il existe, il est présent, le problème. Mais quel est-il ? Comment l'arranger ? C'était ce qui émanait de mon beau genou, car oui, sa singularité m'inspirait une simplicité adorable, rendant complexe ma posture délicate.
Je n'étais pas bien maigre, mais je me sentais comme une feuille qui s'envole et ne revient jamais. Je les avais collectionnées, et m'étais pris de passion pour les végétaux, mais il ne s'agit en rien de l'objet de mon discours.
Mon genou ne m'avait jamais posé de problèmes sociaux, j'avais une facilité déconcertante à côtoyer des gens qui, de prime abord, ne m'inspirait guère confiance mais force est de constater qu'ils ne m'avaient jamais insulté, ni maltraité. Je tends à les soupçonner de m'avoir gardé sous le coude pour montrer leur altruisme fallacieux en s'occupant d'une personne dont il ne fallait rien faire pour qu'elle soit mieux portante.
Loin de ma famille cet état d'esprit. J'étais l'aîné, si l'on oublie ma demi-sœur. J'avais eu une petite sœur et un petit frère, faux jumeaux. Nous avons cinq ans d'écarts et dès qu'ils ont été expulsés de ma mère, je les ai trouvés moches. Ils étaient de ma famille, mais ils sont laids et personne n'y peut rien. Malheureusement, en plus d'être laids, ils étaient dénués de bon sens. Je ne leur en veux pas vraiment, ils ont été manipulés par des parents qui ne s'aiment pas et ne se sont jamais aimés. Ce couple qui n'aurait jamais dû exister les avait incités à se moquer de moi pour obtenir des friandises, sans quoi, ils subissaient une privation alimentaire de deux jours consécutifs.
Je me demande encire, comment pendant tant d'années, je n'avais rien remarqué. Peut-être était-ce les livres qui m'avaient trop fascinés pour que je puisse, à un quelconque instant, faire attention à leur attitude ?
Puis ma demi-sœur - bien que je ne puisse être sûr de son appartenance à ma ligné - fut un lot étrange de consolation et souffrance. Elle vivait avec un maquereau mais ne semblait pas savoir que quoi il s'agissait. Je pense que cette insouciance, cette ignorance, cette incompréhension de ce qui nous entoure, de ce que nous faisons nous a permis de rester liés et soudés. Bien que nous ne partageons, semble-t-il, aucun lien de parenté, nous étions proches de part notre façon de penser. Elle ignorait qu'elle souffrait, et j'ignorais subris du harcèlement familial.
Elle souffrait et je l'avais remarqué. Son comportement bien trop fluctuant, ses œillades meurtrières et ses accès de violence m'ont toujours tourmenté. Mais en l'absence de toute personne, sa voix suave, son regard enjôleur et ses manières lascives m'attiraient inexorablement. Puis, une fois chose faite, je crois ne plus jamais l'avoir revue."
Informations supplémentaires :Elfège possède un sac à dos à l'allure plutôt simple. Mais, l'intérieur est un réel casse-tête de poche dont, pour des raisons d'habitudes, il en connaît chaque recoin. Dedans est disposé un carnet et un style - voire plus en cas de nécessité. Il prend souvent l'habitude d'y noter quelques mots, ou des idées de textes, et des croquis.
Relations :Mei Juéwàng → Patronne
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CRÉATEUR — tsunn
FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.IMAGE DE LA CHAMBRE:
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